Fuite vers la nature à Beyrouth: peinture murale à Ain el-Mreisseh
Peinture murale, rue Kennedy à Ain el-Mreisseh |
Est-ce que ce jeune homme escalade le mur pour visiter les trésors cachés et oubliés de la vieille maison beyrouthine?
Ou bien il fuit le béton vers le fleuri?
J'adore l'expression de la fleur effarée!
Un peu de joie dans cette ville où la guerre et la tristesse ont fait des ravages. Merci pour ce partage.
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire. Il n'y a plus de place pour la tristesse... on veut autre chose! La vie passe trop vite... Profitons-en :)
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