Dans le port de Beyrouth

"C'est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau
Hissez haut Santiano
Dix-huit noeuds quatre cents tonneaux
Je suis fier d'y être matelot..."

Aperçu dans le port de Beyrouth, ce voilier me fait penser à la chanson de Hugues Aufray. Dommage de ne pas en savoir plus à son sujet.

Commentaires

  1. Un trois mats à Beyrouth il ne doit pas en y avoir souvent, parfait pour apprendre la chanson aux enfants !

    RépondreSupprimer
  2. Merci pour votre joli message... Cela me fait chaud au coeur !
    Belle semaine à vous, Flo

    RépondreSupprimer
  3. Merci Emilie Paris, je connais un garçon de 7 ans qui adore cette chanson!

    Merci Flo! Bonne semaine à vous aussi

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Libellés

Plus d'éléments

Articles les plus consultés